Philippe-Nicolas Martin
  Baryton
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Rencontre avec le baryton Philippe-Nicolas Martin

pour www.opera-online.com

Voilà six ans que nous suivons de près la carrière du jeune baryton français Philippe-Nicolas Martin, que nous avions découvert dans une production des 
Caprices de Marianne à l’Opéra de Marseille, ville où il a fait ses premières armes d’abord comme pianiste, puis comme chanteur lyrique, en intégrant notamment le fameux CNIPAL (malheureusement dissous en 2016). Nous l’avons notamment souvent applaudi à l’Opéra Grand Avignon dans des productions aussi diverses que La bohème en 2019, L’Elisir d’amore de Donizetti la même année ou encore La Veuve joyeuse de Lehar peu avant la crise sanitaire. A l’occasion de sa participation à la rare et superbe partition qu’est Djamileh de Bizet à l'Opéra de Tours, nous nous sommes rapprochés de lui pour lui poser quelques questions...
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Opera-Online : D’où vous vient votre goût pour la musique et le chant ?
Philippe-Nicolas Martin : J'ai abordé la musique classique tout simplement par les cours de musique au collège dès la 6ème. J'ai acheté un premier CD, puis un second, etc. Puis tout mon argent de poche est passé là-dedans... C'est la musique instrumentale qui m'a d’abord plu. Je n'avais pas encore découvert la musique vocale. J'ai ensuite commencé la clarinette, mais je passais une partie de mes cours sur le piano qu'il y avait dans la salle du professeur. A la fin de l'année, il a dit à ma mère qu'il fallait plutôt que je m’oriente vers le piano.
J'ai tout de suite plongé dans l'apprentissage du piano. C'était un vrai refuge et j'achetais plein de partitions, y compris des partitions que je n'étais pas capable d'interpréter. Je suis très rapidement devenu un fan de concertos pour piano et autres instruments. Le format soliste me plaisait déjà. Je voulais toujours découvrir davantage d'œuvres, de compositeurs. C'est ainsi que je me suis enrichi de nombreux ouvrages, dont beaucoup de concertos. Beaucoup de musique russe : Chostakovitch, Rimski-Korsakov, Prokofiev, Medtner... et Rachmaninov, sur lequel j'ai écrit un mémoire de Maîtrise de 450 pages pendant mes études.
Je n'ai eu l'occasion d'aborder la musique vocale qu'à partir de l'université, pendant les trois années de licence durant lesquelles il fallait pratiquer le chant choral. J'ai eu l'occasion de valider ces unités de valeur dans le chœur du CRR de Marseille, sous la baguette de Roland Hayrabedian qui dirigeait également l'ensemble de musique contemporaine Musicatreize ainsi que le Chœur Contemporain - un choeur semi-professionnel - qu'il m'a invité à rejoindre en troisième année de licence et en maîtrise, indépendamment de mes études universitaires. J'ai abordé ainsi beaucoup d'œuvres contemporaines de Maurice Ohana, Edith Canat de Chizy, Kaija Saariaho, Félix Ibarrondo, etc.
En parallèle, j'avais repris mes études de formation musicale au CRR de Marseille et en classe supérieure, j'avais notamment une heure de pratique orale avec ma professeure pendant laquelle je devais chanter des mélodies de Berg, Mahler, Poulenc, Messiaen... Cette professeure et Roland Hayrabedian m'ont encouragé à prendre des cours de chant lyrique car ils trouvaient ma voix intéressante et ils pensaient que ça valait la peine de la développer. Mais personnellement, je n'étais pas intéressé par le chant lyrique, mais plutôt le piano. Jusqu'au jour où, alors que je préparais le CAPES pour devenir enseignant, j'ai présenté l'entrée en classe de chant lyrique au conservatoire d'Aix-en-Provence, là où j'étudiais, avec un ami pianiste. C'est parti d'un simple pari entre amis, sans rien de sérieux. Et voilà qu'aujourd'hui c'est devenu mon métier.
Depuis, j'ai bien entendu développé ma culture opératique et pris de plus en plus goût au chant !
Comme un certain nombre de chanteurs de votre génération, vous êtes passé par le CNIPAL de Marseille. Que vous a apporté cette formation ?
Le CNIPAL a été une période très intense, comme pour de nombreux chanteurs qui sont passés par ce centre. C'était une belle opportunité à plusieurs points de vue. Le travail avec plusieurs chefs de chant, chaque jour pendant un an et demi, m'a permis d'aborder les partitions vocales différemment et d'apprendre davantage les styles du répertoire. On a pu être formés à une certaine rigueur qu'impose ce métier, une prise de conscience de certains aspects du milieu professionnel, j'ai eu la possibilité de me produire en concert et en récital tout au long de la formation, de préparer un répertoire d'audition et d'avoir l'occasion non-négligeable de pouvoir être entendu par un grand nombre de décisionnaires artistiques de maisons d'opéra et de festivals, sans oublier des agents artistiques. Grâce au CNIPAL, j'ai pu obtenir plusieurs engagements en début de carrière !
Vous avez été fortement touché par la crise sanitaire et tous vos contrats entre mai 20 et mai 21 - on a compté au moins cinq productions - ont été annulés. Comment avez-vous vécu cette période ?
J'ai malheureusement eu bien plus que cinq productions annulées en France et aux USA. Cette période a été pour tout le monde un questionnement perpétuel face à l'inconnu. Il est vrai que voir des contrats s'annuler mois après mois était un vrai crève-cœur, surtout quand on sait à quel point il est difficile d'obtenir des engagements. Mais dès la deuxième semaine de confinement, je me suis remis à travailler tous les jours ma technique, à apprendre mes rôles à venir (sans savoir bien sûr qu'ils allaient être annulés). Puis, dès que cela a été possible, au mois de juin 2020, j'ai pu retourner travailler très régulièrement chez mon professeur. J'ai eu le temps également d'apprendre des airs et des rôles pour le plaisir, et qui m'ont fait progresser. D'un point de vue financier, les intermittents ont eu une réelle chance d'avoir le soutien de l'Etat avec l'année blanche, qui touchera à sa fin le 31 décembre 2021. Et l’on mesure sa chance quand on voit les collègues dans nombre de pays étrangers qui n'ont reçu aucune aide…
pour aller plus loin
Chronique : L'Opéra de Tours redonne leur chance à Djamileh de Bizet et La Princesse jaune de Saint-SaënsVous venez de chanter dans Djamileh de Bizet (rôle de Splendiano) à l’Opéra de Tours. Dans quel état d’esprit sortez-vous de ces représentations et quel regard portez-vous sur la mise en scène de ce spectacle ?
La découverte de cette œuvre a été un enchantement. Cette partition n'est étonnamment pas jouée comme elle le devrait. Les rôles de Djamileh et Haroun font appel à toute l'invention mélodique sublime propre au compositeur. Le rôle de Splendiano n'est pas, quant à lui, un rôle si bouffe qu'on pourrait le penser. L'écriture reste vocale, lyrique, et assez aiguë. Le rôle est écrit entièrement en clef de Sol !
Quant au spectacle, la reprise que j'attendais impatiemment depuis tant de mois s'est faite avec une équipe très sympathique. C'était un réel bonheur ! Le travail avec Géraldine Martineau était vraiment enrichissant et intéressant. De même avec Laurent Campellone, grand spécialiste du répertoire français, et toujours à l'écoute de la mise en scène, soucieux de servir le drame et le texte.
Que pouvez-vous nous dire de vos prochains engagements et quels rôles aimeriez-vous aborder à l’avenir ?
C'est avec une très grande joie que je vais retrouver le rôle de Mercutio en novembre/décembre, à l'Opéra Comique, sous la baguette de Laurent Campellone et la direction scénique d'Eric Ruf. C'est le rôle avec lequel je suis rentré en confinement, lors d’une production à Bordeaux (nous y étions), et avec lequel je reprends quasiment la saison. Je suis très heureux de retravailler cette maison où l'équipe est très agréable. Je suis également très content de retrouver pour la quatrième fois le rôle de Belcore pour une version concert de L'Elixir d'amour au TCE à la mi-janvier 2022. C'est un rôle et un opéra que j'aime particulièrement et je suis ravi de le reprendre dans cette grande maison. Ensuite, la production de L'Enfant et les sortilèges de l'Opéra de Lyon, dont j'avais déjà fait la reprise à Limoges, sera donnée à l'Opéra de Lille en février 2022. C'est une très belle production, très poétique que je suis enchanté de reprendre dans ma ville d'adoption.
Puis ce sera la recréation des Abencérages de Cherubini, au MUPA de Budapest, avec un concert et un enregistrement : il s'agit d'une production du Palazetto Bru Zane. Enfin, je terminerai la saison avec la reprise de la production de l'Opéra Comique de Fortunio de Messager, à l'Opéra national de Lorraine et la reprise de Djamileh à Tourcoing, qui sera suivie de l'enregistrement de l'ouvrage sous la direction de François-Xavier Roth. En somme, ce sera une saison sous le signe de la Comédie Française, puisque trois des metteurs en scène en sont sociétaires : Géraldine Martineau, Eric Ruf et Denis Podalydès.
Pour la suite, j'aimerais aborder plusieurs rôles qui me tiennent à cœur et que je n'ai pas encore eu l'occasion de chanter sur scène. La liste est longue, mais ceux qui me viennent à l'esprit sont : Valentin, Zurga, Hamlet, Enrico dans Lucia di Lammermoor, Riccardo dans Les Puritains, Posa, Ford, Fritz dans La Ville Morte, le Père dans Hänsel & Gretel, Wolfram et... le rôle-titre d’Eugène Onéguine !  Et il y a mes fantasmes wagnériens... mais ce n'est pas pour tout de suite ! (rires)
Propos recueillis en octobre 2021 par Emmanuel Andrieu

Octobre 2021 - Opéra de Tours
Splendiano, dans Djamileh, de Georges Bizet

"
Le Splendiano de Philippe-Nicolas Martin porte très bien son nom. Une voix si saine et imposante est un luxe pour un rôle qui ne peut ainsi plus être taxé de secondaire."
- Guillaume Saintagne, www.forumopera.com

"
Le baryton projette son chant par un appui lyrique, dans une rondeur au service du phrasé et de l'articulation. Son grand impact vocal porté par un soutien constant ne s'atténue que dans l'aigu (mais franchement) par un excès de velouté cotonneux."
- Charles Arden, www.olyrix.com

"
Philippe-Nicolas Martin est physiquement bien jeune pour incarner le « vieux précepteur » Splendiano, mais vocalement superbe."
- Laurent Bury, www.concertclassic.com


Février 2020 - Opéra national de Bordeaux
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod


"​Philippe-Nicolas Martin compose un Mercutio dynamique et charismatique. Sa voix clairement projetée tisse un phrasé éloquent aux accentuations vigoureuses et à la diction ciselée. Le timbre scintillant se montre chaleureux, s’affirmant corrélativement à la longueur des rôles confiés au chanteur depuis quelques saisons."
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com

"
Philippe-Nicolas Martin expose aussi pour Mercutio un superbe registre bas-médium autant qu’un texte précis, encore mieux projeté que celui de son ennemi..."
- Vincent Guillemin, www.resmusica.com

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Parmi les personnages secondaires se détache très nettement le Mercutio de Philippe-Nicolas Martin, en totale adéquation vocale et scénique avec son rôle."
- Laurent Bury, www.forumopera.com

Interview par Katia Choquer pour Opéra Magazine
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Décembre 2019 - Opéra Comique
Landry, dans Fortunio, d'André Messager


"Philippe-Nicolas Martin, qui peut tout chanter, de Rameau à Ravel (et au-delà), réussit avec brio ses débuts scéniques parisiens avec un Landry subtil et de haute musicalité."
- Jérôme Pesqué, www.odb-opera.com


"Philippe-Nicolas Martin donne une belle épaisseur scénique et vocale à Landry, dont il fait le double prosaïque du poétique Fortunio. Comme à son habitude, il est parfaitement compréhensible et soigne constamment sa ligne de chant."
- Stéphane Lelièvre, www.premiere-loge.fr

"Philippe-Nicolas Martin est un bouleversant Landry aux contours élégants."
- Thibault Vicq, www.opera-online.com


"Philippe-Nicolas Martin est quant à lui un Landry beau parleur mais sympathique, chantant avec naturel et aisance, parfait contrepoint scénique au personnage de Fortunio."
-Claire-Marie Caussin, www.forumopera.com

"Le Landry de Philippe-Nicolas Martin semble fait du même bois avec un chant simple et naturel, parfaitement stylé."
- Steeve Boscardin, www.resmusica.com


"Pas en reste sur ce point Philippe-Nicolas Martin campe un excellent Landry."
- Alain Cochard, www.concertclassic.com

"Remarquable Landry de Philippe-Nicolas Martin."

- Didier van Moere, www.concertonet.com

"Philippe-Nicolas Martin fait un Landry vaillant et convainquant, à la voix claire et la diction très précise."
- Quentin Laurens, www.webtheatre.fr


"De son élégant baryton, clair et rond, Philippe-Nicolas Martin campe un Landry hâbleur mais touchant."
- Jean-Marc Piriou, www.bachtrack.com
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Septembre 2019 - Opéra de Saint-Etienne
Les Nuits d'été (intégrale avec orchestre), H. Berlioz


"Délaissant ensuite la version habituelle des Nuits d’été pour voix de femme (soprano et parfois mezzo), c’est Philippe-Nicolas Martin qui les délivre, nouvelle occasion de goûter le timbre d’une chaleur sombre, la classe et la magnifique diction du baryton français: chaque mot paraît ici prononcé avec le poids exact désirable, à tel point qu’on en redécouvrirait presque le texte de Théophile Gautier. Sa prestation démontre à l’évidence que cette version pour voix grave d’homme n’est pas moins légitime quand elle est offerte par un interprète de choix."
- Emmanuel Andrieu, www.concertonet.com


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Mai 2019 - Opéra Grand Avignon
Belcore, dans L'Elisir d'amore, de G. Donizetti


"Le Belcore de Philippe-Nicolas Martin est également une parfaite réussite scénique et vocale. Très à l’aise dans ce rôle qu’il a déjà interprété avec succès à Malte et à Nice, le baryton donne à son personnage un dynamisme et une autorité qui font mouche."
- Fabrice Malkani, www.forumopera.com

"De son côté, le baryton français Philippe-Nicolas Martin possède exactement le physique du rôle de Belcore - bellâtre militaire à l'imposante carrure et au sourire carnassier -, et offre une interprétation pleine de panache. A son allure machiste, il ajoute une vraie aisance dans les vocalises, une élégance dans la ligne de chant et un timbre vibrant."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com

"D'autant que le Belcore a la voix et l'allure rigoureuse et martiale de Philippe-Nicolas Martin, la stature en impose comme la ligne de chant expressive et le timbre charpenté."
- Charles Arden, www.olyrix.com

"Le sympathique Philippe-Nicolas Martin, beau comme il n'est pas permis, de son timbre de bronze rond, haut placé, allie de belle manière prestance vocale et verve bouffe."
- Christian Colombeau, www.arts-spectacles.com

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Avril 2019 - Théâtre des Champs-Elysées
Aronte/Artémidore/Ubalde, dans Armide, de Lully/Francoeur


"Philippe-Nicolas Martin est la révélation de la soirée : medium chaud, prononciation exemplaire, projection souveraine et présence en scène simple mais très efficace."
- Guillaume Saintagne, www.forumopera.com
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"Philippe-Nicolas Martin, un des meilleurs barytons français de la nouvelle génération, a l'occasion de se mettre en valeur dans toutes les scènes où il intervient (...). La voix est riche et projetée, la diction impeccable, et la présence indéniable."
- Pierre-Antoine Miron, www.le-babillard.fr


"Philippe-Nicolas Martin, qui interprète successivement trois chevaliers (Aronte, Artémidore et Ubalde). Les rôles d’Aronte et d’Artémidore sont, en principe, attribués à des basses. La ductilité de son organe lui permet d’atteindre le registre grave avec aisance, « Si je ne vous quitte ». Il développe toute sa maturité vocale dans le médium lorsqu’il projette parfaitement « O ciel, ô disgrâce» et « ce que l’amour a de charmant n’est qu’illusion». Il porte une attention soignée à l’art de la diction. Chacun de ses mots parviennent, sans déformation, à nos oreilles. La richesse harmonique, dont il dispose, lui permet d’être entendu au-delà de l’orchestre. Une belle découverte !"
- Jean-Stéphane Sour Durand, www.baroquiades.com


"L’excellent Philippe-Nicolas Martin, un vrai talent à suivre de près, tant le timbre est riche et la technique solide."
- Jérôme Pesqué, www.odb-opera.com

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Janvier 2019 - Opéra Grand Avignon
Marcello, dans La Bohème, de G. Puccini


"Marcello, incarné par Philippe-Nicolas Martin. La voix de celui-ci ne manque ni de caractère ni de couleurs, soutenue par une présence scénique assurée. Le duo de ces deux amants à la fin de l’acte II ne manque pas de puissance, tant vocale qu’expressive."
- Emmanuel Deroeux, www.olyrix.com

"En grande forme, le jeune baryton français Philippe-Nicolas Martin est un Marcello lyrique, puissant, et surtout soucieux de faire vivre un personnage complexe."
- Emmanuel Andrieu / www.opera-online.com

"Nous lui préférons de très loin le baryton Philippe-Nicolas Martin, en Marcello, sans doute la plus belle qualité de voix ce soir, timbre riche et bien projeté, avec un vibrato proche de l’idéal."
- IF / www.anaclase.com

"Philippe-Nicolas Martin, Marcello imposant et délicat qui ne forcera pas sur le duo."
- Jean-Luc Clairet / www.resmusica.com
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Mai 2018 - Opéra de Nancy
Albert, dans Werther, de J. Massenet


"Philippe-Nicolas Martin donne de la noblesse et du relief à Albert, que sa jeunesse rend plus tragique encore - il s'effondre littéralement au III, sous un manteau de neige."
- Didier Van Moere, www.diapasonmag.fr

"Il serait également injuste d'oublier Philippe-Nicolas Martin entendu in loco en mars dernier dans Un Bal masqué où il était déjà un fort beau Christian que nous regrettions de ne pas entendre davantage. Quel plaisir donc de le retrouver ici plus en avant dans le rôle d'Albert ! le baryton offre une ligne de chant claire et précise, un jeu à l'avenant, et donne au personnage toute sa consistance, loin d'être secondaire face aux deux amants malheureux."
- Elodie Martinez, www.opera-online.com

"Avec son timbre riche et puissant, avec sa technique soignée, Philippe-Nicolas Martin donne un relief inaccoutumé au rôle d’Albert et en traduit avec véracité l’évolution des sentiments."
- Michel Thomé, www.resmusica.com


"Autour d'eux, Philippe-Nicolas Martin réussit la prouesse d'arracher Albert à la grisaille, mettant en valeur chacune de ses interventions grâce à un timbre coloré."
- Laurent Bury, www.forumopera.com

"D'un bout à l'autre, on y croit. Albert très stylé de Philippe-Nicolas Martin."
- Christian Merlin, Le Figaro

"Philippe-Nicolas Martin in carne un Albert fort présent, jeune enfin, avec un réel tempérament et surtout une approche vocale très affirmée de sa voix de baryton  posée, au timbre très coloré et relativement puissante."
​- José Pons, www.olyrix.com

"Albert, le mari trompé, amer et désemparé, lorsque Charlotte se précipite dans la neige pour assister Werther dans ses dernières secondes, trouve son interprète rêvé dans Philippe-Nicolas Martin au baryton viril et dynamique."
- Beate Langenbruch, www.bachtrack.com

"L’Albert sobre et contenu de Philippe-Nicolas Martin s’impose face au couple fatal."
- Gérard Condé, www.asopera.fr

"Même excellence de la diction chez Philippe-Nicolas Martin, qui fait exister un Albert essentiel à l’intrigue, qu’il compose avec une évidente gourmandise : de l’amoureux un peu benêt au mari enfermé dans sa logique de devoirs, incapable d’imaginer d’autres horizons et anéanti par sa jalousie qui ne lui est même pas un moteur. La voix est belle, ample, impeccablement projetée, précise, et le timbre, bellement coloré, souligne la jeunesse du personnage."
- Jean-Luc, http://operaphile.over-blog.com/
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Janvier 2018 - Opéra de Rouen
Le Prince de Mantoue dans Fantasio, de J. Offenbach


"Quant au baryton Philippe-Nicolas Martin, il campe avec aisance Le Prince de Mantoue et la puissance vocale de lui fait pas défaut pour le bel air "Je ne serai donc jamais aimé pour moi-même".
- Brigitte Cormier, www.forumopera.com

"Pourtant, même dans la colère et la tristesse, le chant bien délié de Philippe-Nicolas Martin conserve sa noblesse à travers tout l'ambitus."
​- Charles Arden, www.olyrix.com



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Novembre 2017 - Opéra de Nice
Belcore dans L'Elisir d'amore, de G. Donizetti

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"De son côté, le baryton français Philippe-Nicolas Martin est bien un « talent à suivre » : le grave a encore gagné en ampleur et le timbre en puissance depuis son Hérault stéphanois, et l’élégance du chanteur, le soin qu’il apporte à la prononciation de l’italien, ainsi que les dons du comédien (doté par ailleurs d’un physique très avantageux) augurent d’un avenir des plus prometteurs."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com

​"Philippe-Nicolas Martin possède le physique avantageux de Belcore, et un beau timbre, sonore et élégant."
- Catherine Scholler, Opéra Magazine


Juin 2017 - Opéra de Saint-Etienne
Le Héraut du roi dans Lohengrin, de R. Wagner


"Quand on aura noté la présence scénique et vocale de Nicolas Cavallier en Roi Henri et de Philippe-Nicolas Martin en Héraut, un rôle en rien négligeable qui requiert un vrai grand baryton, on aura compris que cette distribution ne souffrait aucune faiblesse."
- Jacques Bonnaure, www.lalettredumusicien.fr

"Le Héraut de Phlippe-Nicolas Martin impressionne par son impact..."
- Nicolas Grienenberger, www.classiquenews.com


"Le héraut de Philippe-Nicolas Martin est une belle découverte. Beaucoup de qualités et d'intelligence chez ce jeune chanteur."
- www.odb-opera.com

"Philippe-Nicolas Martin campe un fier Héraut, avec toute l’autorité nécessaire."
- Laurent Bury, www.forumopera.com

"Le héraut très émouvant de Philippe-Nicolas Martin, sonnant comme le jeune Bernd Weikl, donne le ton de ce qui va être une vraie fête vocale."
- Jean-Luc Clairet, www.resmusica.com

"Le jeune baryton de Philippe-Nicolas Martin, pour commencer, Héraut de robuste autorité."
- www.anaclase.com


"Philippe-Nicolas Martin incarne un Héraut plein d'énergie"
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com

"...tandis que Philippe-Nicolas Martin se montre un Héraut du Roi convaincant lors de ses appels solennels."
- Michel Le Naour, www.concertclassic.com

"Quant au héraut de Philippe-Nicolas Martin, là aussi, comme pour ses collègues, la projection est claire et assurée, en parfaite adéquation avec le personnage et la partition."
- www.toutelaculture.com

"Le Héraut, par la voix de Philippe-Nicolas Martin, n'en a que plus de mérite à appeler et convoquer."
- Patrice Henriot, Opéra Magazine


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Avril 2017 - Zellerbach Hall (Berkeley/San Francisco)
Bélus, Un Guerrier romain, Un Guerrier dans Le Temple de la Gloire, de J.-P. Rameau


"Baritone Philippe-Nicolas Martin was an emphatic Bélus"
- Georgia Rowe, www.mercurynews.com
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Mars 2017 - Opéra de Rennes
Don Fernando dans Fidelio, de L. van Beethoven


"Philippe-Nicolas Martin fait preuve de noblesse dans son intervention finale [...]
- Vincent Deloge, www.resmusica.com

"[...] le Don Fernando de Philippe-Nicolas Martin captive, quant à lui, par la conjonction de la beauté du timbre et de l'élégance du phrasé."
- Emmanuel Andrieu, www.classiquenews.com


Décembre 2016/Janvier 2017 - Opéra de Rennes 
Taddeo dans L'Italiana in Algeri, de G. Rossini


"[...] le Taddeo de Philippe-Nicolas Martin, n'a, quant à lui, rien d u barbon traditionnel, et tient sa partie avec brio et une grande aisance vocale."
- Tania Bracq, www.forumopera.com

"Formidable Taddeo du jeune Philippe-Nicolas Martin, baryton expressif et drolatique, qui tient la dragée haute à ses partenaires."
- Jean-Luc Macia, Opéra Magazine

"Philippe-Nicolas Martin confirme la bonne impression récoltée lors d'une première rencontre à l'Opéra de Nantes, dans le rôle du Héraut de Lohengrin."
- Thierry Martin, www.unidivers.fr
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Septembre 2016 - Angers Nantes Opéra
Le Héraut du roi dans Lohengrin, de R. Wagner


​"[...] le baryton Philippe-Nicolas Martin réussit toutes ses déclarations déclamées en Héraut bien chantant et naturellement puissant."
- Alexandre Pham, www.classiquenews.com
 
"Le Héraut juvénile mais vaillant de Philippe-Nicolas Martin marque, sauf erreur, les premiers pas du baryton dans le royaume wagnérien [...]"
- Laurent Bury, www.forumopera.com 
 
"Excellent également, le Hérault de Philippe-Nicolas Martin, jeune et brillant espoir parmi les barytons français, qui dessine un énergique et élégant maître de cérémonie, au timbre accrocheur et à l'émission pleine d'aisance, sans rien de pompeux dans ses interventions."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com
 
"Enfin, Philippe-Nicolas Martin est un Héraut royal appliqué et efficace, digne dans son attitude. Il démontre une puissance vocale que ses précédents rôles ne laissaient pas soupçonner [...]"
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com
 
"Quoique son intervention soit plus confidentielle, le héraut, interprété par Philippe Nicolas Martin, nous procurera un sentiment des plus agréables, sa voix de baryton lyrique, puissante et bien posée, nous laisse augurer de moments de réel plaisir, [...]"
- Thierry Martin, www.unidivers.fr 
 

  
Février 2016 - Opéra de Reims 
Le Garde-chasse dans 
La Petite Renarde rusée, de L. Janacek

"Parmi les interprètes, l'on distingue tout particulièrement Philippe-Nicolas Martin, au beau baryton cuivré, qui incarne un garde-chasse forestier étonnamment joyeux, optimiste, bon enfant, affectueux avec sa petite renarde. Son monologue final, d'un lyrisme vibrant et épuré nous transporte dans un monde transcendant, où la nature est reine et l'amour universel.

- Elisabeth Bouillon, www.odb-opera.com

"On pourra y distinguer l'impeccable Garde-Chasse du baryton Philippe-Nicolas Martin, rendant pleine justice à son monologue terminal, [...]"

- François Lehel, Opéra Magazine

Février 2016 - Théâtre national de Saint-Quentin-en-Yvelines
Le Garde-chasse dans La Petite Renarde rusée, de L. Janacek
 
«[…]la belle présence vocale et scénique du Garde-chasse de Philippe-Nicolas Martin.»
- www.lalettredumusicine.fr
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Janvier 2016 - Maison de la musique (Nanterre)
Le Garde-chasse dans 
La Petite Renarde rusée, de L. Janacek

"Philippe-Nicolas Martin campe un magnifique garde-chasse, plein d’humanité. C’est un vrai bonheur que d’entendre ce rôle confié non pas à un chanteur déjà âgé, voire en bout de course, même si le livret prévoit qu’il vieillisse au cours de la représentation."
- Laurent Bury, www.forumopera.com
 
«l’excellent baryton Philippe-Nicolas Martin en garde-chasse d’une grande humanité […]»
- Bruno Serrou, www.brunoserrou.blogspot.fr
 
«Autre très belle satisfaction avec l’excellent Garde-chasse de Philippe-Nicolas Martin, percutant et engagé,[…]»
- Florent Coudeyrat, www.concertonet.com
 
«Il faut surveiller de près dans La Renarde le Garde Forstier de Philippe-Nicolas Martin et la Renarde de Noriko Urata qui promettent beaucoup.»
- Jean-Charles Hoffelé, www.concertonet.com

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Octobre 2015 - Opéra de Saint-Etienne
Sganarelle dans 
Le Médecin Malgré Lui, de C. Gounod

"En Sganarelle, Philippe-Nicolas Martin affirme une générosité de grain vocal au diapason des enjeux théâtraux de son rôle, qui signalent d’indéniables qualités de caractérisation."
- Gilles Charlassier, www.concertonet.com

"La France est décidément un riche vivier de barytons, et l’on souhaite àPhilippe-Nicolas Martin de se voir confier d’autres premiers rôles dont il a parfaitement l’étoffe vocale […]"
​- Laurent Bury, www.forumopera.com












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"Sganarelle est servi par l’éclatant Philippe-Nicolas Martin. Il est vrai que son rôle occupe quasiment tout l’opéra, et qu’il l’endosse avec brio. A la fois cabotin et malicieux, un timbre très agréable et un joli phrasé permettent de se laisser embobiner par cet opportuniste, sans qu’il ne force jamais le trait."
- Perrine, www.odb-opera.com



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​​"Philippe-Nicolas Martin verfügt nicht nur über einen traumhaft schön timbrierten lyrischen Bariton, sondern auch über ein großes Maß an Spielfreude. Sein Sganarelle war einfach umwerfend. » / 
"Philippe-Nicolas Martin possède non seulement une fantastique voix de baryton lyrique, bien timbrée, mais aussi un grand plaisir à jouer. Son Sganarelle était tout simplement époustouflant."
- Walter Nowotny, www.der-neue-merker.eu
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Mai 2015 - Opéra royal de Versailles
Chef des bardes dans 
Uthal, de Méhul

"Il [Yann Beuron] est, du reste, le seul de cette brillante distribution, avec Philippe-Nicolas Martin – le chef des Bardes, remarquable de musicalité  dans son récit de la scène VIII –, à maîtriser la déclamation des dialogues en alexandrins avec autant d'évidence que de naturel."
- Alfred Caron, www.asopera.fr

"Philippe-Nicolas Martin a sans doute plus à chanter en tant que « Chef des Bardes », ce dont il s’acquitte à merveille, d’une voix souple et joliment timbrée."
- Laurent Bury, www.forumopera.com
"Une mention particulière pour Philippe-Nicolas Martin, le Chef des Bardes et baryton assuré."
- Pierre-René Serna, wwwconcertclassic.com

"Les seconds rôles superlatifs sont dominés par un excellent Philippe-Nicolas Martin [...]"
- Florent Coudeyrat, wwwconcertonet.com








Mai 2015
 - Opéra de Clermont-Ferrand
Récital 1840


"[...] Philippe-Nicolas Martin, lauréat du Concours international de Chant de Clermont en 2013, est riche en timbre. Son phrasé toujours adapté au contexte mélodique est capable d’un mordant qui ne dénature jamais la subtilité du trait. Il possède une intelligence dramatique et un sens de l’effet ultra maîtrisé qui l’imposent dans bien des registres de sensibilité."
"A la part du rêve du baryton jouant autant de la séduction de subtiles inflexions que d’autorité [...]"
- Roland Duclos, www.forumopera.com

Avril 2015 - Opéra d’Avignon
Octave dans Les Caprices de Marianne

"Le personnage d’Octave est magistralement interprété par le baryton Philippe-Nicolas Martin, parfaitement à l’aise scéniquement et vocalement, servi par une élocution claire et une grande homogénéité dans les différents registres, disposant lors de cette représentation à Avignon d’une belle projection et d’un sens aigu des nuances."
-Fabrice Malkani, 
_http://www.forumopera.com

"[...] tandis que Philippe-Nicolas Martin montre une superbe aisance aux côtés du ténor Cyrille Dubois [...]"
- Roland Massabuau, Midi Libre

"De même, Philippe-Nicolas Martin sait faire passer par un timbre chaleureux l’aspect libertin et bon vivant du personnage doublé du sens de la solide amitié qui le lie à Coelio."
- Jean-Pierre Bergon, ODB-Opéra

"Philippe-Nicolas Martin, jeune baryton au timbre gorgé de chaleur, personnage central de ce jeu tragique, libertin fantasque."
- Christophe Floquet, www.journalzibeline.fr





Mars 2015 - Teatro Manoel, La Valetta (Malta)
Belcore dans L'Elisir d'Amore

"That, despite the fact that Belcore is a hopeless braggart and quite a ridiculous bore – but baritone Philippe-Nicolas Martin’s very fit interpretation had a kind of swagger about it, which carried off his part with some admiration thanks also to characterisation and a voice with which to carry it off."
- Albert Storace, 
www.timesofmalta.com
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Février 2015 - Opéra de Tours
Octave dans Les Caprices de Marianne
 

« […] face au fidèle ami Octave de Philippe-Nicolas Martin, débordant de vitalité, de sincérité et de générosité vocale. »
- Philippe Haller,
www.lanouvellerepublique.fr
 
« Octave d’une indéniable solidité, Philippe-Nicolas Martin démontre une présence certaine au fil de la soirée, d’où émerge un sens de la nuance qui habille le rôle, et contraste avec la touchante fragilité du Coelio. »
- Gilles Charlassier, www.concertonet.com





Janvier 2015 - Opéra de Marseille
Octave dans Les Caprices de Marianne


«  Superbe découverte que le baryton lillois Philippe-Nicolas Martin dans le rôle d'Octave : timbre charmeur, chant raffiné et comédien talentueux. »
- Emmanuel Andrieu,
www.operaonline.com

« Philippe-Nicolas Martin, Octave sensible et juste scéniquement. »
- Maurice Salles, www.forumopera.com

« […] chez les hommes, c’est l’Octave de Philippe-Nicolas Martin qui impose son timbre élégant, sans faille, et son jeu idéal dans l’incarnation du « dragueur » puis de l’ami qui s’humanise au fur et à mesure du développement de l’action. Une prestation superbe. »
- Michel Egea, www.destimed.fr

"Philippe-Nicolas Martin fanfaronne de belle manière en Octave. Le baryton-loubard impose une écrasante présence naturelle, avec une voix prometteuse, qui, si elle est bien conduite, devrait bientôt nous proposer un Valentin, un Lescaut, un Zurga de grande classe !"
- C.Colombeau, www.podcastjournal.net
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Novembre 2014 - Opéra de Metz
Octave dans Les Caprices de Marianne





«Philippe-Nicolas Martin, émancipé et en verve, nuance en comédien adroit le registre expressif du personnage d’Octave – s’il ne faut retenir qu’un nom, c’est celui-ci. »
- Sébastien Foucart, www.concertonet.com



Octobre 2014 - Opéra de Reims
Octave dans Les Caprices de Marianne


« 
Les interprètes peuvent alors donner libre cours à leurs talents. Pour la première des deux distributions, celle de la soirée de création à Reims, il n’est que de relever une parfaite adéquation, et ce jusqu’au moindre des rôles. Retenons le quatuor principal : (…) la sûreté d’émission de Philippe-Nicolas Martin (Octave, l’ami de l’amant) (...) »
- Pierre-René Serna, 
www.concertclassic.com

«Philippe-Nicolas Martin a la prestance, la séduction et la fantaisie du personnage. »
- Marie-Aude Roux, www.lemonde.fr

«Philippe-Nicolas Martin est doué pour l’émission naturelle et pour la variation de couleurs, rendant sa voix agréable à écouter. »
- Victoria Okada, www.resmusica.com

«Philippe-Nicolas Martin possède un joli timbre et une élocution claire. »
- Laurent Bury, www.forumopera.com

«Philippe-Nicolas Martin est un parfait Octave. Epicurien et pour autant fidèle à son ami, il convoque tous les registres du drame qui est entrain de se tramer. »
- Sophie Lesort, _www.toutelaculture.com 



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